16 janvier 2011
Le commencement de la fin. Parce qu'autant écrire la chute.
Je ne donnerai jamais ma vie pour toi, même si tu devais crever devant moi.
Je te hais, si tu savais comme je te hais...
Je dors plus, j'en viens à me bourrer de cachets pour faire une nuit complète.
Ne me regarde pas comme ça, avec cet air supérieur, comme si toi tu savais tout.
Je ne t'aime pas, c'est juste que j'arrive pas à oublier tes mains sur moi.
Peut être qu'a tes yeux c'était rien, mais moi dès que j'y repense, mon ventre se tord, ma respiration s'accélère.
C'était que tes mains carressant ma peau... Mais c'était bien trop pour que j'oublis.
Et sinon, tu es un bel enfoiré. Je sais bien que je ne vaux pas mieux que toi.
Mais je veux te voir mourrir. Crève.
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