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"Il y a rien qui m'endort, je sens encore tes mains sur mon corps... (8)"
19 janvier 2011

Petit coeur, fait moi une faveur, arrête toi de battre, abandonne toi, il te pourris tellement. Cesse de combattre...

J'aurai tout accepter de toi.

Tu aurais pu me frapper, me blesser et même me tuer.

Je n'aurais rien dit, rien fait pour t'en empêcher.

Mon amour n'a pas de limites.

Et j'espère te croiser encore une fois. Juste une dernière fois.

Je ne suis pas soumise. Je t'aime juste.

Je ne suis pas folle. Je suis folle de toi.

.

Le chaud, le froid, je vois même plus la différence.

Bébé je tire ma révérence.

Tu croyais que c'était de la frime,

Nan nan, je suis tombé dans la déprime.

Je mettrai fin à mon existance.

.

.

Son sang à déjà beaucoup coulé.

Toi seul aurais pu l'empêcher.

Va-t-il s'arrêter ?

Et il coule, il coule.

Tâche son tshirt, imbibe ses pensemants, colore son bras,

Il l'imacule de sa couleur écarlate.

Elle n'a pas su résister.

Pourquoi tu n'as pas vu qu'elle mentais?

Pourquoi tu l'as cru quand elle t'a dit que tout allait.

Pourquoi tu n'as pas vu qu'elle ferait n'importe quoi.

Pour toi.

.

.

Son âme se bat.

Vivre ou Mourrir ?

Seul elle pourra choisir.

.

.

P1030322HOP

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Commentaires
"Il y a rien qui m'endort, je sens encore tes mains sur mon corps... (8)"
  • " J'aurais tellement aimé ne pas te connaître, ne pas te rencontrer, ne pas te remarquer. Tout aurait été plus simple. Ce manque perpétuel que tu causes dans mon cœur ne serait pas sans cesse présent. Ce désir que tu me procures lorsque nos chemins se croi
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